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Les solutions de crédits pour le rachat d'une entreprise

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Les informations ci-contre sont générales et fournies à titre indicatif uniquement. Elles ont seulement vocation à donner un aperçu de certains types de financement. Il ne s’agit pas d’une description des activités de Finfrog. La responsabilité de Finfrog ne saurait être engagée sur la base de ces informations, qui ne doivent en aucun cas être considérées comme du conseil. Finfrog est un intermédiaire en financement participatif. Par conséquent, les prêts sont financés par des particuliers et non par Finfrog. Finfrog n'accorde pas directement de crédit, mais intermédie des prêts entre particuliers.

Comment obtenir un prêt pour racheter une entreprise ? 

Pour financer le projet de reprise d'une entreprise, il est tout à fait possible d'obtenir un prêt auprès d'un organisme bancaire. Un des premières conditions pour souscrire ce crédit professionnel est généralement de disposer d'un apport personnel, aussi appelé fonds propres.

Pour réunir vos fonds propres, vous pouvez par exemple recourir à votre épargne personnelle ou solliciter l'argent de vos proches. Les spécialistes recommandent un apport représentant entre 20 et 35 % du prix de vente de l'entreprise en question. Ce pourcentage dépend de sa situation économique.

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Quelles solutions pour renforcer son apport personnel ?

Si l'emprunteur / racheteur ne dispose pas des fonds suffisants, il existe plusieurs moyens pour renforcer son apport personnel avant de demander un emprunt bancaire :

  • Faire appel à son épargne salariale ou personnelle, et éventuellement celle des associés du projet. Il s'agit tout simplement de demander un déblocage anticipé de cette épargne.
  • Solliciter l'aide d'un proche en lui proposant de rentrer au capital de votre future société. Ce système est appelé la "love money". De plus, en participant au capital de votre entreprise, cette personne bénéficie d'un avantage fiscal sur son impôt.
  • Faire les démarches pour bénéficier de l'ARCE (aide à la reprise et à la création d'entreprise) : il s'agit d'un dispositif dont le montant représente 45 % du reliquat des droits à l'assurance chômage du créateur ou du repreneur au jour de la création ou de la reprise de l’entreprise.
  • Souscrire un crédit bancaire personnel, avec le remboursement d'intérêts au taux en vigueur. Ce financement n'est pas la meilleure opération pour racheter une entreprise.
  • Demander un prêt d'honneur auprès d'Initiative France, BpiFrance Création ou du Réseau Entreprendre (en partenariat avec des banques). Le repreneur de 3 000 à 50 000 euros selon son projet de rachat.
  • Passer par le financement participatif, aussi appelé le crowdfunding. L'intérêt de ce financement est de pouvoir tester votre marché réel avec un produit ou service. Toutefois, les business ne sont pas tous adaptés au financement participatif. Certains rachats d'entreprises impliquent par exemple une certaine confidentialité. N'hésitez pas à demander au cédant avant tout.
  • Faire appel à un professionnel de l'investissement, notamment un business angel, des fonds de capital-investissement ou le crowdequity.
  • Solliciter les comptes courants d'associés.

En somme, il existe plusieurs possibilités de financement pour la reprise d'un business. Il convient de les étudier pour choisir le meilleur plan pour votre activité.

Le saviez-vous ?

Plus de 60% des repreneurs disposent d'un apport personnel compris entre 100 000 et 500 000 €. Seulement 11% disposent d'un apport inférieur à 100 000 € pour leurs prêts auprès d'une banque.

Auprès de qui solliciter un prêt pour le rachat d'entreprises ? 

Dès lors qu'un repreneur dispose des fonds propres nécessaires (et éventuellement d'une caution et d'une garantie), il a plusieurs solutions pour solliciter un prêt :

  1. Faire un crédit auprès du cédant de l'entreprise en acquisition. Cette opération s'appelle le crédit-vendeur. En règle générale, ces prêts sont réalisés lorsque le cédant repreneur connaît suffisamment le repreneur.

  2. Demander un prêt auprès de BpiFrance. Il s'agit d'une banque publique d'investissement offrant un contrat de "développement transmission pour les reprises de petites et moyennes entreprises (PME)". Le montant du prêt accordé peut aller jusqu'à 650 000 euros. L'emprunteur n'a pas de garantie ni de caution personnelle à fournir. En plus du financement, Bpifrance propose aussi de garantir les prêts consentis par le repreneur. Il s’agit de la garantie transmission Bpifrance, qui propose une garantie à hauteur de 50% du montant du prêt bancaire. Tous types de projets sont concernés, notamment le rachat des parts sociales ou la reprise du fonds de commerce.

  3. Sinon, il est possible d'obtenir un financement auprès d'une banque pour cette acquisition. Dans ce cas, la durée de l'endettement est en général de 7 ans. Il faut bien négocier la durée de remboursement, le taux des intérêts et les garanties à fournir.

Quels sont les avantages de racheter une société ?

Si le projet de rachat de sociétés n'est jamais simple, il comporte plusieurs intérêts pour le repreneur :

  • Il hérite d'une activité existante, déjà en place. Cela signifie que la société dispose déjà d'une clientèle, d'une marque, d'outils de production, de collaborateurs et de l'expérience du cédant. La mise en place de l'activité est donc facilitée pour le repreneur. 
  • En moyenne, le taux de pérennité de l'activité est supérieur.
  • Il est souvent plus facile d'obtenir un emprunt bancaire, car la banque peut se baser sur les bilans de l'entreprise comme garantie, souvent sur plusieurs années, pour évaluer le risque et les intérêts.
  • Le repreneur peut se verser un salaire plus rapidement, selon la performance de l'activité.

Bien réussir le montage financier pour racheter une entreprise

Le rachat d'entreprise ou de startup implique une opération financière. Dans ce cas, deux choix s'offrent au repreneur :

  • Racheter le fonds de commerce : l'opération concerne donc uniquement la reprise de l'outil de travail. Le repreneur n'est pas concerné par les dettes de la société rachetée.
  • Le rachat de titres (actions ou parts sociales) : le repreneur devient le propriétaire de la société (holding). Les parts sociales rachetées servent à couvrir l'intégralité des éléments figurant au bilan dès la date du rachat (actifs, les créances, la trésorerie, les dettes).

Le chiffre : 830 000 euros

La valeur moyenne d'une cession d'entreprise, toutes activités confondues, est estimée à 830 000 euros. De plus, le chiffre d'affaires moyen réalisé par une entreprise ayant subi une cession est d'environ 1 400 000 euros par an.

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